Ben c'est effacé. il sera resté un petit mois et demi. je l'aimais bien moi ce petit message sur le pont neuf, lieux de passages entre deux rives, au dessus de l'eau, oui, penser à prendre le temps dans le rose de la ville, penser à rêver à la source de la Garonne, et à l'Océan à l'autre bout. penser à s'arrêter devant les lumières, les ciels, les saisons.mais ce n'était pas une commande publique, programmée et selectionnée par un fin jury de connaisseurs en aménagement urbain et artistique.
non, le petit cochon dans son écrin est arrivé sans invitation, comme les plantes sauvages, les mauvaises herbes dont on a oublié les vertues, que l'on préfère en granules.
hommage à cet Anonyme, qui m'a donné à voir sa poésie urbaine.






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